i’m gonna be stuck here forever (oskar)

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Oskar Ekland
we love who we love. sucks.

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ÂGE : le temps passe à chaque fois plus vite. Pour lui, il est encore dans la vingtaine, profitant au maximum de sa jeunesse, seulement, ce n'est plus le cas, il se voile la face. Les trente-six ans sont présents. C'est un adulte... Enfin, il est censé en être un. La vérité est tout autre.  DATE & LIEU DE NAISSANCE : ce n'est autre que la belle ville de Suède, Visby qui a connu la naissance du petit Oskar, un enfant que l'on a deviné dès sa naissance, le dix-sept septembre mille-neuf-cent-quatre-vingt-deux, turbulent.  NATIONALITÉ : ce n'est pas très étonnant de savoir qu'il a la nationalité suédoise. n'ayant jamais quitté ce pays, il ne possédera jamais une autre nationalité. ÉTAT CIVIL : en couple, célibataire, en couple, célibataire, fiancé, marié, divorcé, en couple, célibataire. Il est passé par tous les statuts possibles, à une époque, il voyait même deux femmes en même temps. Ça n'a pas duré, sans surprise. Il est, aujourd'hui, célibataire, seul. C'est peut-être bien mieux ainsi. Il l'a appris avec les années, il est un excellent amant, mais pas un bon mari.  OCCUPATION : élève prodige, intéressé, intéressant et brillant, on lui a donné la possibilité d'un grand avenir. Chance qu'il a saisie, il est devenu avocat. L'un des meilleurs mais tout s'est écroulé bien rapidement. Trop rapidement. A cause d'une succession de mauvais choix, il se retrouve à piloter et réparer des bateaux le long du port de Visby. Une énorme déception pour ses parents et pour lui-même, lui qui était si reconnu en tant que défenseur de la loi. GROUPE : Pine. MOODBOARD : clique (si vous en avez créé un et souhaitez le partager)

Sammanfattning

Il est d’une bonne famille. Une famille riche de Suède. Toutes personnes quelque peu influentes dans ce pays et encore plus précisément à Visby connaît la famille Ekland. De riches hommes d’affaire, des bijoutiers, des architectes, des politiciens, des avocats. La panoplie est longue. En arrivant au monde, Oskar était presque destiné à finir comme ses anciens. Il a été éduqué de cette façon, de façon à devenir une personnalité connue de Visby, à devenir important, reconnu. Inutile de préciser qu’avec son caractère, Oskar n’a jamais souhaité d’une telle chose. Il s’est rebellé, du moins, il a essayé de se rebeller de nombreuses fois mais très vite, sans réellement qu’il comprenne comment cela a pu lui venir, il a commencé à avoir cette peur de décevoir ses parents, de leur faire honte. Ses parents, des gens stricts, parfois un peu trop durs, mais justes et corrects. Il a commencé à se mettre cette pression de ne pas les décevoir en arrivant au lycée. Au lycée, il était un élève brillant, comme on s’attendait à ce qu’il soit. Il l’était. Probablement l’un des meilleurs qu’il pouvait y avoir dans cette école. Oskar avait ce même esprit critique et ce sens intéressé que toute sa famille, il n’a pas échappé à la règle. Il était sérieux dans ses études, ne laissant le distraire. Même les demoiselles, ce n’a jamais été un point qu’il considérait sérieusement. Ce qui lui en fallu des gifles, des tonnes, sans arrêt. Il faut dire qu’il n’est pas quelqu’un ayant un tact particulier, il dit les choses directement, crument, ne se doutant pas un instant que cela peut heurter la sensibilité de quiconque.

A l’université, il fait des études de droit, souhaitant devenir avocat, comme lui a souvent proposé son père lui-même avocat. Il se remet à nouveau cette pression. Il n’a pas envie de décevoir. Sans oublier ses frangins, son petit-frère et sa petite-sœur qui prenaient exemple sur leur grand-frère. Il se devait d’être parfait, d’être incollable sur sa vie future, de la réussir, de suivre la logique des choses, de suivre la vie si prestigieuse de ses parents et de toute la famille Ekland depuis plus d’un siècle. Et il a presque réussi. Au bout de cinq petites années, il sort diplômé de l’université. Il peut commencer à faire débuter sa carrière en tant qu’avocat spécialisé en droit pénal. Il exerce dans le cabinet de son arrière-grand-père où son père occupe la première place, la place du chef. Une place qui lui était alors réservé dès qu’il est entré dans ce building. Une pression supplémentaire pour le jeune homme qui n’avait, à ce moment-là, pas même la trentaine. Toutefois, habitué à une telle pression et stress depuis aussi longtemps qu’il se souvienne, il gère assez bien ce facteur, comme il l’a si bien fait pendant des années.

Sa carrière se déroule dans les meilleurs des situations. Il ne lui faut que très peu de temps pour se faire une réputation digne de celle qui a toujours précédée celle de sa famille. Il est très apprécié, souvent invité à des soirées mondaines qu’il aimait refusée. Cependant, il ne pouvait pas toutes les refuser et c’est là qu’il a rencontré celle qui deviendra sa femme… malheureusement pour elle et pour lui. Si les deux premières années sont synonymes de bonheur et de joie, qu’Oskar apprend à se poser, à être un bon conjoint, aussitôt il demande la main de la jeune femme, aussitôt tout s’écroule autour d’eux. Effectivement, grâce à sa sœur, deux semaines – seulement après avoir passé la bague au doigt, d’avoir juré d’aimer cette femme toute sa vie devant tous ses proches et même Dieu – auquel il ne croit pas une seule seconde, il apprend qu’elle le trompe avec un de ses nombreux associés. Le peu de personnes connaissant réellement Oskar savent qu’il n’est pas du genre à chercher le conflit, qu’il est de loin le genre de personnes à se montrer pacifiste. De ce fait, peut-être est-ce stupide, mais il décide de réagir comme sa chère femme et de la tromper avec la première de ses associées. Il le fait et contre toute attente, cette liaison se sait à cause de cette demoiselle qui n’a pas su garder cela secret. C’est ainsi que son mariage coule alors qu’il n’avait même pas deux mois d’existence. Ce qui a été considéré comme pathétique par ses parents qui ont tout simplement détesté le fait qu’ils divorcent et qu’Oskar porte le mauvais rôle. D’ailleurs, à l’heure qu’il est, il a toujours tu savoir que sa femme le trompait. Ironiquement, il ne voulait pas qu’elle se sente coupable. Ce qu’elle ne s’est pas gênée de faire ressentir à son ex-mari.

Après quoi, Oskar a quelque peu perdu les pédales. Il a fait la rencontre d’une demoiselle, absolument charmante, adorable, drôle, assez aventurière, rêveuse, splendide, à la limite de la perfection, ce genre de femme qui a tout pour elle, le genre sur lequel on se retourne presque malgré nous tant cette dernière est charismatique. Cependant, cette façade à la pointe de la perfection cachait un lourd secret : son addiction pour l’alcool et toute sorte de drogue. Des vraies saloperies qu’Oskar s’est toujours promis d’éviter. Il a réussi pendant au moins deux mois. Pendant deux mois, il a côtoyé cette jeune femme et a réussi à résister à toute cette machination atroce et dans laquelle il est dur de sortir. Cependant, sa résistance n’a pas duré longtemps et c’est ainsi qu’il est devenu, par la même occasion, addicte de la même façon qu’elle pouvait l’être.

Pendant presque un an, il a dupé les autres. Faisant croire que tout était sous contrôle, qu’il contrôlait parfaitement sa vie, que tout allait bien alors qu’il était devenu dépendant de ces drogues et des boissons alcoolisées. Il vivait, en vérité, un véritable enfer. Cette demoiselle l’ayant rendue accro a fini par trouver le bon chemin et cesser tout ça pour aller en centre de désintoxication, elle lui a proposé de venir avec elle mais Oskar, complètement déboussolé et pensant toujours désespérément avoir tout sous contrôle, refuse, prétendant n’avoir aucun problème. Evidemment, il se voilait cordialement la face, ne voulant admettre qu’il ne pouvait pas finir plus bas que Terre. Avant qu’elle ne parte en cure, ils se sont fait la promesse de se retrouver, elle lui a promis qu’elle l’aiderait à aller mieux dès qu’elle reviendrait. Ce qu’elle a fait. Six mois après, elle était revenue, chez Oskar, en bonne santé, souriante et dans l’espoir de l’aider, de le sauver avec ce sentiment de culpabilité de l’avoir amené à être dans un tel état. Sans grande surprise, il a rejeté son aide en la qualifiant de profiteuse, de calculatrice, de menteuse et d’autres adjectifs tout autant dévalorisant et destructeur pour une jeune femme se sentant d’ores et déjà coupable.

Il a enchaîné les conneries pendant un sacré bout de temps – personnellement parlant, ne réalisant pas à quel point il était désorienté. C’est quand son père l’a viré du cabinet et qu’il l’a retiré de ses fonctions d’avocat qu’Oskar a eu un déclic. Il n’avait fait aucune erreur, aucune, si ce n’est être complètement sous l’effet de l’alcool et de la drogue pendant ses heures de travail. Son père a tu les raisons de renvoi pour lui éviter une humiliation à lui et – surtout la famille Ekland. Il l’a envoyé presque de force dans un centre de désintoxication. Ce qu’il fait sans broncher, ayant enfin réalisé qu’il avait un véritable problème d’addiction.

A peine cinq mois après, il quitte le centre. Il demande pitié à son père, lui prie de le reprendre, de lui rendre les fonctions d’avocat. Ce qu’il refuse, ne souhaitant plus travailler avec son fils qui l’a déshonoré et qui a salie le patronyme. Oskar a essayé, il s’est confondu en excuses tant de fois qu’il a arrêté de compter au bout d’un moment mais son père est rancunier, il n’oublie pas et pardonne encore moins. Il a été contraint d’accepter la chose. Il a dû trouver une échappatoire, retombé sur ses pattes. Il ne pouvait pas rester ce pauvre type, paumé, ancien addict. C’est presque miraculeusement qu’il trouve une place, par hasard, au sein de l’office du tourisme de Visby, qu’il s’est trouvé une place de navigateur au sein du port. Il fait voyager les touristes sur son bateau, il les fait rejoindre d’autres parties de la ville et afin de finir plus justement les fins de mois, il répare aussi les bateaux défectueux. Sa situation est plutôt misérable comparée à celle qu’il avait auparavant, celle d’un riche homme avocat, ayant tout pour lui, absolument tout pour lui. Maintenant, il n’a plus la drogue ni l’alcool mais il continue de se comporter comme le dernier des salops avec les femmes. Il leur fait la cour la nuit pour les laisser tomber au petit matin. Il ne cherche pas d’attache. Inutile de préciser le pourquoi du comment. Au vue des façons dans lesquelles se sont terminées ses deux relations plus ou moins longues et sérieuses, il préfère laisser tomber tout ça.

Förhört

Veuillez décliner vos nom, prénom, âge et emploi pour l’enregistrement.
Oskar Joël Ekland, trente-trois ans… avec trois ans en plus. Je navigue des bateaux, je fais visiter le port et ses alentours. Je les répare aussi pour mieux finir les fins de mois.

Comment décrieriez-vous votre place dans la communauté de Visby ?
Je suis là depuis toujours. Je pense que tout le monde me connaît, presque malgré moi. Je ne pense pas tellement que les gens aient une bonne image de moi, d’ailleurs. Pas que j’en apporte une quelconque importance, je suis plutôt je m’en foutiste à ce sujet. Je ne fais pas attention aux regards, aux chuchotements mais ils sont là, c’est certain. Il faut dire que je suis tombé d’assez haut. Je suis passé de l’avocat qui avait une vie absolument parfaite avec une femme aimée de tous à un pauvre type qui passe sa vie sur un port et qui s’est largué comme une merde. Sacré chute, hein ?

Nous avons interrogé votre ex-femme, Madame Waern pour en savoir plus sur vous. Que pensez-vous qu’il/elle ait partagé avec nous à votre sujet ?
Wahou ! Vous n’auriez pas pu demander à quelqu’un d’autre ? Mon ex-femme est certainement la personne qui me déteste le plus sur cette Terre. Elle a dû dire que j’étais le plus gros enfoiré qu’elle n’a jamais croisé de toute sa vie, que je ne suis qu’un égoïste, un infidèle que tout ce beau speech que j’ai fait le jour de notre mariage n’était que des conneries, que je ne suis douée qu’à faire des bonnes paroles, que ce côté loyal, franc et marrant n’était qu’une façade pour cacher le fait que je sois un vrai salop. J’ai tort ? Elle a peut-être dû ajouter que j’étais un sacré con, aussi.

Nous aurons besoin de recueillir le témoignage d’un autre de vos proches pour attester de votre fiabilité et de votre sérieux. A qui pouvons-nous nous adresser ?
Euh… C’est une excellente question. Fiabilité et sérieux. Mon frère ? Non, pas mon frère. Il ne va pas prendre la chose au sérieux. Ma sœur, peut-être ? Elle est gentille. Il y a moyen qu’elle dise quelque chose de gentil sur moi. Je ne suis pas le genre à avoir beaucoup d’amis. J’apprécie être seul. Et j’ai blessé beaucoup de personnes autour de moi, peu ont été suffisamment courageux pour me supporter malgré tout. Comme vous l’avez remarqué, je suis divorcé. Je trouve que c’est plutôt explicite.

Avez vous au contraire des ennemis? Des relations conflictuelles avec votre entourage ?
Je suis assez proche de ma famille, enfin de mes deux frangins. Ils sont les seuls à me supporter réellement, à savoir me canaliser. J’ai tendance à surprotéger mon petit-frère et ma petite-sœur. Je suis le plus grand de la famille, c’est pour ça. Avec mes parents, c’est un peu plus compliqué maintenant que je ne suis plus avocat. Ils sont déçus. Ma mère tente de montrer le contraire mais je le vois bien. Mon père, lui, c'est à peine s'il m'adresse la parole. Ensuite, je pense que pour le reste, les gens qui m’apprécient, je peux facilement les compter sur les doigts d’une main. Ma voisine doit bien m’aimer, je suis pratiquement jamais là. En même temps, si elle ne faisait pas des soirées jusqu’à pas d’heure, je serais peut-être plus fréquemment dans mon appartement.

Merci pour votre coopération. Il est probable que nous vous fassions revenir au poste au cours de l’enquête. Prévoyez-vous de rester dans les parages dans les prochains temps?
Ma foi, je ne suis jamais parti d’ici. Enfin, si, je suis parti une fois pendant une semaine pour ma lune de miel et une deuxième et dernière fois pendant trois mois pour le travail. Maintenant, au vue de mon boulot, je ne suis pas prêt de bouger de là où je suis. Malheureusement, je suis destiné à rester coincer ici. Ce n’est pas plus mal. J’ai mes petites habitudes… tel un petit vieux d’une soixantaine d’années ou une vieille fille.

Fritt fält

〤 Quand il était gamin, il s'occupait très souvent de son frère et de sa sœur. Leurs parents n'étaient pas présents. C'est pratiquement Oskar qui a endossé le rôle d'éducateur pour ses frangins. Un rôle un peu lourd à porter, au vue de son jeune âge. Il l'a, toutefois, assumé avec brio. 〤 Il connaît parfaitement la ville de Visby, elle n'a aucun secret pour Oskar. Il y traînait fréquemment quand il ne voulait pas être chez lui. Connaître chaque recoin l'a aussi aidé à séduire quelques femmes, aussi. 〤 Son grand-père a pris le rôle de parent et surtout de père aux yeux d'Oskar. C'est lui qui lui a tout appris. C'est lui qui lui a appris à naviguer. Heureusement, sinon, à l'heure qu'il est, Oskar n'aurait pas de travail. Ou il en aurait probablement un autre mais un qui lui plaît moins. 〤 Bien qu'il se cache bien de le montrer, il est un excellent cuisinier. Malgré ça, il ne prend pas la peine de passer un peu de temps dans sa cuisine. Il préfère commander des pizzas, passer sa soirée à manger de la sale bouffe.  〤 Il est, au premier abord, quelqu'un d'assez froid. Il n'est pas forcément le genre de personne foncièrement gentille et bienveillante. Il préfère être assez éloigné des gens autour de lui. Il a peur d'influencer - en mal, les gens qu'il peut côtoyer. 〤 Dans la famille Ekland, il y a malheureusement des antécédents d'Alzheimer. Très jeune, Oskar a décidé de faire des mots croisés pour faire travailler sa mémoire. 〤 Même s'il est officiellement interdit d'exercer ses fonctions d'avocat, il aide sa sœur, avocate elle aussi, dans des dossiers, en le cachant, évidemment, à leur parent. 〤 Il n'a pas l'air comme ça, mais il aime lire. Il lit énormément. Principalement parce qu'il s'ennuie beaucoup sur son bateau, à attendre les touristes.

Ner maskerna

HELLO MY NAME IS : Aurélie, la vieillesse commence à se faire sentir. C'est à peine s'il y a de la place sur un gâteau, maintenant. Ça fait bobo au cœur de l'admettre.
AVATAR : Chris Evans, le beau-gosse.
DISPONIBILITÉ : assez souvent, entre 4 et 5j/7.
D'OÙ JE SORS : de mémoire, je dirais Bazzart. Comme Dory, j'ai un problème avec ma mémoire.

Annika Bergman a écrit:

(en pilote de bateau en plus, olala, we need you pour le topic commun sortie en mer )