elis • we tried the world, good god it wasn't for us

IRONSDAILY

Elis Jakobsson
we tried the world, good god it wasn't for us

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ÂGE : Vingt-six ans. DATE & LIEU DE NAISSANCE : 4 avril 1992 à Stockholm. NATIONALITÉ : Elis est suédois. Madame Jakobssen étant britannique, il pourrait prétendre à la double-nationalité mais cette option ne lui a jamais vraiment traversé l'esprit : il n'a que peu d'attaches avec sa famille anglaise et puis honnêtement, ça a l'air de représenter beaucoup trop de boulot en paperasse. ÉTAT CIVIL : Célibataire. Sans commentaire. OCCUPATION : Depuis qu'il a abandonné ses études de droit - il aura tenu six semaines en tout est pour tout, Elis vivote de petits boulots qu'il abandonne eux aussi prématurément. Il puise dans ses économies lorsque sa mère ne lui transfère pas elle-même de l'argent en cachette. Depuis quelques mois, il travaille pour son frère, un magnat de l'hôtellerie en devenir qui possèdent plusieurs petits hôtels de l'île. Aux dernières nouvelles, Elis a été aperçu à la réception de l'auberge de jeunesse de la ville, le Fängelse Hostel. Il n'y fera sûrement pas long feu non plus lorsque son aîné découvrira qu'il passe plus de temps à flirter avec les backpackeuses australiennes qu'à changer des draps. GROUPE : Pine. Elis a, à de nombreuses reprises, parlé de son désir de partir faire le tour de monde : vivre de rencontres, de soirées alcoolisées et de grands paysages. Mais une pareille aventure demande un minimum d'organisation, d'argent et de volonté : trois choses qui lui manquent cruellement, ces temps-ci. En attendant, il accepte tant bien que mal de vivre sa petite crise de quart de vie à 2 km de chez ses parents, dans un grand appartement mal chauffé du centre-ville, qu'il partage avec trois autres bras-cassés.MOODBOARD : clique (si vous en avez créé un et souhaitez le partager)

Sammanfattning

Elis who…?

…one of the Jakobsson’s boys
Les Jakobsson ont toujours incarnés un modèle de réussite pour leurs voisins et amis : malgré ses quatre grossesses, Victoria Jakobsson (née Powell, près de Londres) mène une brillante carrière d’avocate tandis que Karl Jakobsson a fait fortune dans l’immobilier. Ensemble, ils ont eu quatre enfants — quatre beaux garçons, intelligents, bien éduqués, promis à des avenirs radieux. Habitués des beaux quartiers de Stockholm, ils déménagent à Visby avant l’entrée à l’école d’Elis, espérant offrir une meilleure qualité de vie à leurs quatre enfants. Petit dernier de la fratrie Jakobsson, Elis a longtemps accepté de marcher dans les pas de ses trois grands frères sans faire de vague ; mais tout se corse au lycée. Ses relation avec son père (un patriarche qui n’attend rien de plus que l’excellence de la part de ses fils) se délitent et ses notes chutent alors qu’il essaie désespérément de découvrir qui il est au milieu de cette famille oppressante.

…anya’s toy or whatever
Anya et Elis se sont rencontrés lors de leur premier jour d’école, alors que les Jakobsson venaient d’emménager à Visby. Elle lui vola sa trousse, il lui tira les cheveux en représailles et depuis… rien n’a vraiment changé, dans le fond. Personne ne peut vraiment comprendre ce qu’il se passe entre ces deux-là. Anya lui en a fait voir de toutes les couleurs mais il n’en a jamais assez, visiblement. D’une façon assez étrange, ils font chacun ressortir le pire en l’autre mais ne parviennent jamais à se tenir éloignés l’un de l’autre bien longtemps. Personne n’est au courant que derrière les oeillades en soirées et les éclats de voix, se cachent des milliers de petits mots griffonnés sur des coins de cahier, et autant de messages, de mails et même de lettres.

…the one that dropped out, six weeks in
Elis fera des études, il n’a jamais été question qu’il en soit autrement. Après une dernière année de lycée un peu chaotique et deux ans d'"années de césure" à voyager aux quatre coins de l'Europe, il parvient donc — de justesse — à se faire accepter à la Faculté de Droit de Stockholm. On l’imagine déjà marcher dans les pas de sa mère mais avant même de passer son premier examen, il décroche. Après quelques semaines à goûter la vie étudiante, ses sorties et la liberté loin de la surveillance parentale, les heures passées dans des amphithéâtres poussiéreux lui semblent bien superflus. Il aura fallu 6 semaines à Elis pour arrêter de faire semblant. Neuf de plus au couple Jakobsson pour apprendre que leur fils ne se rend plus en cours. Seulement 2 jours supplémentaires à son père pour prendre la décision de couper les vivres à Elis.

…the fuckboy that tried to kiss my girl
En grandissant au sein d’une fratrie de 4 garçons, Elis apprit très tôt qu’il allait devoir jouer des coudes pour se faire une place. Si son statut de petit dernier lui octroie les faveurs de sa mère, ses frères — et son père — n’ont jamais été particulièrement tendre avec lui. De gamin sans histoire, parfois un peu dissipé, il devient un adolescent désabusé et impulsif, qui aujourd’hui encore a du mal à prendre la mesure des conséquences de ses actes. Rien ne peut l’atteindre — c’est du moins ce qu’il essaie de (se) faire croire. Toujours une cigarette au bout des lèvres, son personnage de jeune rebelle désargenté lui attire les attentions des filles, et il en est bien conscient. Il cultive son personnage de mec arrogant et blasé à coup d’histoires sans lendemains et de licenciements prématurés pour cacher qu’au fond, il n’est rien d’autre qu’un gamin qui n’a aucune idée de ce qu’il attend de la vie.

…one of the drunkyards from apartment 23c
M. Jakobsson fut formel : pas d’études, pas d’argent. S’il voulait « vivre sa vie », il allait falloir qu’Elis se la finance tout seul, comme un grand. Qu’à cela ne tienne, il n’attendait que ça, Elis : de la liberté, de l’indépendance, de l’autonomie. Sa première décision fut de trouver un appartement à partager avec son meilleur ami d’enfance dans le centre de Visby (bien moins cher que Stockholm, il était obligé de le reconnaître). Le logement, trop grand et difficile à chauffer pour deux garçons sans le sous, accueillit bien assez vite deux nouvelles occupantes. Les quatre colocataires ne s’entendent pas toujours mais cette famille d’adoption est tout ce qu’il fallait à Elis. Depuis cinq ans, les fêtes vont donc bon train au 23c Jägargatan, au grand damn des voisins du dessous.

Förhört

Veuillez décliner vos nom, prénom, âge et emploi pour l’enregistrement.
Jakobsson, Elis, 26 ans… (hésite) entre deux jobs. (se ressaisit soudain) Enfin,… je bosse au Fangelse Hostel à partir de lundi prochain.

Comment décrieriez-vous votre place dans la communauté de Visby?
(Passe les mains sur son visage, soupire) Je suis le fils de Victoria et Karl, tout le monde les connait et tout le monde connait mes frères. On est quatre fils Jakobsson, ça a permis aux gens d’imprimer le nom de famille rapidement quand on a débarqué à Visby, j’crois. (Regarde la porte du local avec impatience) Ma place à moi? Vous attendez que je vous répondre quoi exactement, que je suis le mouton noir? (Il conclu, blasé) Question suivante.

Nous avons interrogé votre frère aîné, Monsieur Tomas Jakobsson pour en savoir plus sur vous. Que pensez-vous qu’il/elle ait partagé avec nous à votre sujet?
(Il laisse échapper un rire sarcastique) Fallait vraiment que vous vous adressiez à Tomas? Vous avez du vous rendre compte que c’est pas mon plus grand fan. Il vous a certainement dit que j’étais un crétin arrogant,  immature et impulsif qui (il imite la voix de son frère) « doit apprendre à prendre ses responsabilités » ? J’ai pas une réputation de mec très fiable, ok, je veux bien l’admettre. Mais quand il m’a proposé de bosser pour lui à l’auberge de jeunesse, il m’a fait tout un speech pour me dire que j’étais quelqu’un de malin, de débrouillard et qui a le contact facile avec les gens, et que c’était tout ce dont il avait besoin au Fängelse. Honnêtement j’ai bien senti que ça lui avait arraché la gueule de me dire ça ; c’est sûrement Maman qui lui a pas laissé le choix.

Nous aurons besoin de recueillir le témoignage d’un autre de vos proches pour attester de votre fiabilité et de votre sérieux. A qui pouvons-nous nous adresser?
Un de mes coloc, si vous voulez. J’ai racheté du lait d’amandes donc Olga devrait plus être fâchée contre moi. Sinon Märit, Liv, Gustav, Eskild,… (il passe mentalement en revue sa liste d’amis) Jan, Tove… Solveig aussi. Et euh,… Anya, je suppose. Ou peut-être pas. Peu importe, vous avez assez de noms de toutes façons, je crois.

Avez vous au contraire des ennemis? Des relations conflictuelles avec votre entourage?
(Il hausse les sourcils et sa bouche s’étire dans un large sourire ironique.) Hm, est-ce que vous avez déjà rencontré mon père, Karl Jakobsson? L’homme charmant qui possède la moitié des appartements de la ville et que je déshonore chaque jour de mon existence?

Merci pour votre coopération. Il est probable que nous vous fassions revenir au poste au cours de l’enquête. Prévoyez-vous de rester dans les parages dans les prochains temps?
Honnêtement, j’aimerais vous dire que non, que j’ai mon billet d’avion pour me tirer d’ici. Mais en ce moment j’ai pas une thune donc je risque pas de m’enfuir bien loin, n’ayez crainte.

Fritt fält

Vous avez carte blanche pour cette partie : aucun format ou minimum de mots imposés. Biographie, anecdotes, listes, dialogues, extraits de journal intime, correspondances… Consignez dans cette partie des morceaux de de votre personnages qui vous semblent pertinents, et n’hésitez pas à l’actualiser ou la compléter par la suite.

ner maskerna

HELLO MY NAME IS : Léa.   Mais vous pouvez m'appelez Patchulea si c'est trop commun pour vous. OU ARON TANT QU'ON Y EST.  
AVATAR : Max Irons  
DISPONIBILITÉ : Je passe généralement tous les jours, mais pour RP avez moi prenez votre mal en patience, je réponds que pendant les week-ends.  
D'OÙ JE SORS : Trop malpoli cette question, j'avais jamais réalisé.   C'EST CE FORUM QUI SORT DE MOI OK?!